Description des intervenantes et intervenants mars 2023

Marc Du Pré, connu sous le nom d’artiste « Joshu Georg », a récemment changé ce nom en « Joshu Genku ». Artiste et pédagogue de l’art belge. Depuis son plus jeune âge, Marc dessine et expérimente l’aquarelle, la gouache et le fusain. À l’âge de 12 ans, il entame la peinture à l’huile. Puis, très vite, la sculpture l’intéresse. Sa toute première œuvre fut réalisée avec un tournevis, de la toile émeri et un peu de verre. Cette œuvre â été présentée lors d’une émission télévisée. À partir de l’âge de 18 ans, la possibilité lui est offerte de participer à des expositions d’œuvres graphiques, de sculptures (bois, pierre blanche et marbre) ainsi que de compositions en fer et en béton. Il est l’artiste le plus jeune à prendre part à une exposition où son œuvre côtoie celle d’Octave Landuyt, Tinel, Serras et d’autres artistes bien connus. Il commence une formation de dessin (sur modèle vivant) lors de ses études universitaires. À l’académie d’Eeklo, il obtient en 1977 son diplôme en sculpture avec la mention « grande distinction », ce qui lui permet de continuer à sculpter d’une manière professionnelle. Cette même année, il obtient le prix « Prof. Wuytack ». A partir de ce moment, les média s’intéressent à lui : Jan Van Rompaey lui consacre une partie de son programme Echo, Walter Zinzen, et plus tard Dirk Tieleman, le font apparaître dans le programme Panorama à la télévision belge.

Laurent Dapoigny s’intéresse tôt à la spiritualité et à la science, deux domaines qu’il ne met pas en opposition mais dans lesquels il voit de nombreuses convergences. Marqué par la lecture de Teilhard de Chardin et de Sri Aurobindo, la découverte du message de Benjamin Creme et des écrits d’Alice Bailey éclaire encore plus la vision spirituelle qui est la sienne. Conférencier bénévole. Il a écrit des récits Théorie de la lumière (éditions Hélios), Les chemins de plus grande conscience (éditions du Dauphin) et un essai Ces liens qui nous unissent (éditions Alphée).

Michelle KÖTTGEN est enseignante en psychosophie. De l’infiniment grand à l’infiniment petit, tout est conscience en évolution ! Dans l’humanité nous expérimentons la conscience individuelle, qui bien qu’étant une étape nécessaire du développement, engendre de nombreux dysfonctionnements. Cette conscience doit maintenant laisser la place à une conscience collective. Ce changement de conscience est indispensable pour nous inscrire en tant humain dans le projet planétaire en cours, pour instaurer de justes relations entre tous les vivants. Et nous sommes tous conviés à déployer nos qualités de tête et de cœur, les deux grands atouts humains, pour trouver en nous l’intention globale dans laquelle nous sommes inscrits depuis toujours. Il nous revient de la comprendre, de l’accompagner et de la révéler en chacun de nous pour le bien de tous. Chacun est invité à jouer sa note spécifique, au sein de la grandiose symphonie planétaire ! Par la méditation, la recherche intérieure et des ajustements extérieurs, pour aligner notre vie à ce que nous sommes fondamentalement, nous avançons vers notre destinée commune. La poésie s’est invitée pour partager quelques fragments de ces contacts de vie de groupe, qui sont avant tout, une rencontre avec notre Être profond (âme), des méditations régulières et des partages en groupes pour nous entraider à grandir ensemble.

Marc Mattina est enseignant en psychosophie.

Il est joueur de sitar et Fidèle de Sathya Sai Baba.